Texte technique, au style académique, nébuleux, rébarbatif, j’ai un peu nagé. C’est sans doute ce qu’ont dû ressentir Atsuko Hosoi et Jacqueline Pigeot lorsqu’ils ont entamé la postface (c’est peut-être ce qui les a décidés à l’écrire) qui consiste en un résumé de ce qui précède ; tout s’éclaire tout à coup et je suis presque tenté de dire qu’il faut lire la postface avant d’entamer le texte proprement dit. Il n’empêche : l’iki est indéfinissable et ne peut être perceptible que par un Japonais ; c’est en gros la conclusion de l’auteur (en tout état de cause, c’est de l’ordre du raffinement)