Je lis Histoire, et malgré l'attrait puissant (attraction évidente) de ce livre, mes yeux se ferment. C'est la fatigue ; la fatigue des jours de labeur, cette épouvantable fatigue que j'exècre, abomine, fatigue qui fait que mes yeux se ferment non comme si j'allais m'endormir, mais comme si j'allais mourir. Cette fatigue me fait de plus en plus peur...

 

1er février 2001