Je pense que je ne vais pas l’achever, pour les mêmes raisons que pour Office des ténèbres. Je suis au cœur de l'essence : pourquoi irais-je plus loin ? Je suis face à face avec l'admirable : pourquoi chercher à m'en saturer ? (Le « lever les yeux du livre » de Bonnefoy, voir la discussion avec Tibère hier à ce sujet...)

 

21 février 2001