Au courrier, une lettre étonnante et inattendue de la part de J***, l’ultime souscripteur de La Rue (n° 115), lettre chaleureuse de louanges, de félicitations qu’il conclut par ces mots : « Bien cordialement, votre lecteur ».

Inutile de dire que des vapeurs célestes me sont montées à la tête. Ceci ajouté à la lecture de Lisbonne qui me transporte littéralement achève de me faire pétiller et me décide tout à fait à poursuivre l’entreprise du Lys l’année prochaine…

 

31 octobre 2001