L’Horizon. Il y avait deux personnes au comptoir en discussion avec la seconde libraire (comment l’appeler, qu’est-elle ? une employée, une associée ?). J’avais Bayard en tête, j’ai jeté un coup d’œil, il n’y en avait pas, puis un autre à Nancy, enfin à Shimazaki : Urushi. Est-ce récent, ça ne me disait rien ? Mon tour est arrivé, j’ai commandé deux Bayard et un Mehdi. Une fois rentré à la maison, j’ai vérifié, Urushi ne figure pas dans ma bibliothèque (shimazakothèque ? il y a bien une « matériauthèque » à la Ressourcerie de Calais). Autre vérification, cette fois sur le réseau : il est de cette année ; je constate en outre qu’il m’en manque un autre, No-no-yuri qui s’insère entre Sémi et Niré Urushi y était en première édition, seize euros. Vais-je me laisser tenter ou attendre qu’il soit en poche ? Et vais-je continuer à la lire ? (Mais à quoi servirait-il de la boycotter après tout ce que j’ai lu d’elle ? Autant aller jusqu’au bout…) (Quel bout ?...)

 

18 juillet 2024