Après m’être acheté du déca au Carrefour City, je me suis arrêté à L’Horizon. J’avais décidé de me faire plaisir et de m’acheter un livre ou deux. Il n’y avait pas de Huston (orthographié HOUSTON dans leur ordinateur ; c’est la « patronne » qui l’a noté et s’en est étonnée – mais qui l’a écrit si ce n’est elle ?), mais deux Shimazaki en poche, dont Tsubaki (j’avais hésité et ai dû utiliser mon portable ; je ne l’avais pas et mon doute était lié à La papeterie Tsubaki) premier du cycle Le poids des secrets… Je pense à l’instant à ce que Martha m’écrivait dans son dernier mail : « Décidément, j’aime beaucoup la façon de raconter des écrivains (écrivaines) japonais. » Sauf que Shimazaki n’est pas Ogawa, même si elles sont indiscutablement japonaises – je veux dire ont une écriture japonaise ; mais elles se distinguent, Shimazaki par sa concision (par la concision de son écriture – souvent proche de Duras, par exemple)… Au retour, je me suis remis à la préparation du troisième entretien que j’ai poursuivi et achevé après le repas (bricolé à la va-vite par Éléonore ; ce n’était pas terrible – je ne m’en plains pas, il fallait bien que quelqu’un s’y mette et manifestement personne n’en avait envie)…
14 avril 2022