Prédominance des textes en italien. Je devrais m'en
réjouir, mais en vérité je m'aperçois que pour les textes à tendance « philosophique
» (disons : essayistes), je manque de vocabulaire, et leur complexité m'empêche
d'y pénétrer... Beaucoup de poésie, aussi, où rien ne me contente ; et de
l'expérimental « graphique » qui, avec le recul, me paraît passablement niais.
Ce numéro (et peut-être l'ensemble de la revue ?) vaut davantage pour son
intention que pour son contenu...
19 octobre 2000