Prédominance des textes en italien. Je devrais m'en réjouir, mais en vérité je m'aperçois que pour les textes à tendance « philosophique » (disons : essayistes), je manque de vocabulaire, et leur complexité m'empêche d'y pénétrer... Beaucoup de poésie, aussi, où rien ne me contente ; et de l'expérimental « graphique » qui, avec le recul, me paraît passablement niais. Ce numéro (et peut-être l'ensemble de la revue ?) vaut davantage pour son intention que pour son contenu... (La publication de la lettre unique de Miller – Henry – me fait hausser les sourcils ; pur intérêt commercial, je présume.) (Suit Nin – hasard de l'ordre alphabétique du sommaire – pour The writer and the simbols (sic), bien états-unien dans sa tentative vaine de mettre à jour l'évidence, à la limite du risible... Pauvre Naïs dans sa misérable résolution de nous expliquer ce qu'est le symbole, l'art et l'écriture…)

 

19 octobre 2000