Je me traîne, ai envie de fumer, les deux sans
doute liés ; je survole un texte de Sollers sans parvenir à oublier tout à fait
son allure de la nuit. Je mange un morceau, sors le chien, achève la traduction,
redescends, m’installe un moment au jardin avec le
Ballard que j’ai repris pour me changer un peu de Sollers, pour aussi lire
de l’histoire, du récit…
4 mai
2003