« Qu’est-ce que c’est que de se retrouver à la fin de sa vie dans un bordel d’hommes où il a amené le mobilier de ses parents, et d’y faire des rituels bizarres comme de piquer des rats avec des aiguilles à tricoter ? » Comment se fait-il que parmi la multitude des ouvrages que j’ai lue à son sujet, jamais ce fait n’a été mentionné ? (Mais la réponse n’est-elle pas évidente ? Quint ou Mauriac auraient-ils pu rapporter ce détail, si tant qu’ils en aient eu connaissance ?...)