Je suis assez d’accord. En tout cas, ça se
vérifie (voir les
premières œuvres « maladroites », Chagall, par exemple). « Matisse fait un
dessins, puis il le recopie… Il le recopie cinq fois, dix fois, toujours en
épurant son trait… Il est persuadé que le dernier, le plus dépouillé, est le
meilleur, le plus pur, le plus définitif ; or, le plus souvent, c’était le
premier… En matière de dessins, rien n’est meilleur que le premier jet. » C’est
Picasso qui parle…