« […] George Dyer (au nom, semble-t-il, prédestiné : impossible de ne pas entendre dans ces deux syllabes, en anglais, quelque chose comme l’œil de la mort, l’être-pour-la-mort, le Moureur) […]. » Mais c’est aussi et avant tout la teinture « dye », c’est-à-dire « dyer », celui qui teint...