Cette nuit, au lit, je l’ai entamé, l’ai poursuivi après le petit déjeuner. J’ai été étonné de constater que ce qui fait le sujet du film (pour autant que je m’en souvienne) couvre à peine une vingtaine de pages (le début ; j’en suis à la page 40 et l’histoire d’Adam est achevée). Ce n’est pas un mal, j’en avais assez d’avoir le visage de James Dean en tête…

 

23 mai 2011