Je reprends
Sollers, p. 414, « Le drame de Mallarmé ». Mais le cœur n’y est pas trop. Ce
n’est plus le moment, j’ai besoin d’autre chose (au pied du lit repose toujours
La divine comédie que j’ai un peu oubliée – Léo me disait l’autre jour
qu’il n’avait pas réussi à le terminer).
12 mai
2003