Une femme est une femme, mon premier DVD que j’ai regardé hier sur mon nouvel écran plat, à même mon bureau. Je ne voulais jeter qu’un œil, les premières images, et puis je me suis laissé aller. Je ne l’avais jamais vu. C’était au temps où Godard avait vraiment de l’humour… Puis je me suis mis au lit (cervicales toute la soirée et encore à l’instant où j’écris) avec La divine comédie que j’ai à peine entamé. Je me suis arrêté au « cri du pape ». (Ce texte est-il la transcription fidèle d’entretiens oraux ou a-t-il [ont-ils] été travaillé[s] par la suite ? J’ai peine à croire qu’il n’y a pas eu un second regard dessus, même si je sais que Sollers est prolixe et volubile)… Une fois arrivé ce matin, j’ai poursuivi le texte au sujet de « Bacon » que j’avais précisément arrêté à la mention du pape de Velasquez…

 

25 avril 2003