« […] Lois, porte sur la couverture un caractère chinois, dont personne
ne demande ce qu’il veut dire […]. Il est très rare que quelqu’un demande ce
qu’une chose veut dire. Nous avons fait l’expérience avec Marcelin Pleynet de
mettre au dos de L’Infini, déjà depuis un certain temps, quatre
lignes dont personne ne nous demande jamais d’où elles viennent, elles sont là… »
Ceci étant dit, je lui laisse la pesanteur colossale de la formulation « dont
personne ne demande ce qu’il veut dire »,
ainsi que « dont personne ne nous
demande jamais d’où elles viennent ». Il suffit de supprimer le « dont »
parfaitement inutile : « […] Lois, porte sur la couverture un caractère
chinois, personne ne demande ce qu’il veut dire » et « […] quatre lignes ;
personne ne nous demande jamais d’où elles viennent […]. » (Il lit trop le journal...)