Je le poursuis, le soir uniquement, après le repas. Je n’ai pris aucune note, n’y songe pas. Je me laisse aller au fil du texte. Voilà un personnage attrayant ; en même temps, je me demande si au lieu que ce soit Sollers qui raconte Denon, ça ne serait pas plutôt Vivant qui parle de Philippe ; un peu comme Guitry qui se fait raconter par La Fontaine, par exemple. Ou Talleyrand (du reste il en est question ici)...
2 mars 2005