En substance : la prostitution admise ; le mariage d’intérêt ; l’adultère commis par l’épouse puni de mort ; les concubines à demeure avec ou sans l’autorisation de l’épouse ; l’union libre délictueuse qui obligeait généralement le couple à fuir (avec cette précision : « Même si le couple faisait disparaître ses traces ou n’était pas poursuivi, il menait une vie si misérable, séparé des attaches familiales, qu’il la terminait par un suicide collectif, le shinjû, double suicide passionnel, encore trop souvent pratiqué de nos jours au Japon. ») La traduction date de 1959...