« “ Kôshoku ” (amour de la volupté) qui se trouve également qualifier Yonosuke de Ichidai-otoko, prend ici un sens assez différent [le mot fait partie du titre original]. Il s’agit bien, sans doute, de l’amour sensuel – l’amour platonique ou mystique ne se traduisant pas au Japon dans la littérature – mais d’une passion naturelle, librement consentie, sans rien de vénal, et qui s’affirme avec indépendance chez des femmes qui ont pris conscience d’elles-mêmes. »