J’en suis à la cent-dixième page et me demande si le récit des premiers pas de Fabrice à la guerre est du lard ou du cochon ; on dirait une farce, c’est complètement invraisemblable, presque burlesque dans le sens des films muets d’avant le parlant. Qu’est-ce que ça veut dire ? C’était pourtant bien parti…

 

26 mars 2016