Suit un second conte, The Isle of Voices, au décor océanien identique, que je trouve un peu inférieur au précédent… Ce livret s’accompagne d’un second volume de mêmes dimensions (dont la couverture malheureusement manque). Le tout, et j’ai l’impression qu’il en est de même pour toutes les publications de cette édition, The Rainbow Library, est à l’usage d’élèves ou d’étudiants… J’apprends dans l’introduction (où je relève le terme « liseurs » dans la formule « les petits liseurs » désignant sans nul doute les enfants) que Stevenson, dont je ne savais rien jusqu’à présent et n’avais lu en français que le Canaux et rivières, est mort à l’âge de trente-neuf ans et a passé les dernières années de sa vie en Océanie (je me demande bien pourquoi je relève ce genre de détails). Par contre, je ne trouve aucune mention, dans sa bibliographie, d’un texte se rapprochant de près ou de loin au Faire du feu dont Léo nous avait parlé et qui aurait été le livre de chevet de Staline. À approfondir…

 

30 octobre 2001