Et Rose se recroqueville davantage sous les draps à la recherche du sommeil qu’une fois de plus lui a fait perdre son mari : elle se fiche bien de Venceslas et de sa famille qui peuvent bien faire ce qu’ils veulent, le jour comme la nuit, mais surtout la nuit dont elle aime à croire qu’elle est le repos du juste et du méritant.

Et elle le mérite bien, elle qui est partie toute la sainte journée, tandis que lui reste là, à se tourner les pouces.

« Dormir, Alain... »