– Qu’est-ce que je disais ! Ah, l’habile manœuvre, le sournois subterfuge ! Tu veux que je te dise, Apoline ? Tu es diabolique !
– Ah non, Sylvain, cette fois c’est trop !
– Et je suppose qu’arrive le moment où tu me gifles, n’est-ce pas ?
– Oui, Sylvain. Je crains fort que ça soit le moment.
– Bon... Mais pas trop fort, je te prie. Parce que la dernière fois, tu n’y es pas allée de main morte
– Je vais essayer, Sylvain. Mais je ne te promets rien, ce n’est pas mon jour, aujourd’hui.
– Sur l’autre joue, s’il te plaît... »