Elle embrasse Gilbert, caresse au passage Médard qui est descendu du fauteuil et prend le chemin de la cuisine en frétillant de la queue.

Lazare le suit du regard.

« Mais il se porte bien, ce chien ! »

Depuis un moment, Raymond lui tend la main.

« J’ai même pas pensé à vous offrir quelque chose.

– Aucune importance. Je ne bois pas quand je réfléchis. »

À tout hasard, Raymond sourit ; puis suit le grand corps qui lui-même est parti sur les traces de la petite Nathalie jusqu’à la porte.

Lazare se demande si cette petite ne serait pas un autre de ces enfants adultérins que ce nabot de rital doit semer dans tout le quartier...