Et plus tard, Roseline dira :
« Ce type n’est qu’un menteur. Comment aurais-je pu faire une chose pareille ? Je ne l’ai même jamais vu. Et qui est-il d’abord ? » Elle aura une moue de dégoût. « Dans le hall d’entrée ! et contre le mur ! Mon dieu, quel infect personnage ! quel odieux type ! Tu te rends compte de quoi certains hommes sont capables ?
– Mais pourquoi irait-il raconter ça si, effectivement, il ne te connaît pas ?
– Je n’ai jamais dit qu’il ne me connaissait pas. Qu’est-ce que j’en sais, après tout, s’il me connaît ou non ? Je dis que c’est moi qui ne le connais pas. C’est suffisant, non ?... Et qu’il me connaisse ou non ne change rien à l’affaire. Ça ne l’empêche pas d’aller colporter n’importe quoi sur moi. Et ça ne l’empêche pas d’être un menteur, non !
– Pourtant...
– Pourtant, quoi ?
– Non, rien.
– Si ! dis !...