Puis, en me tendant la main et en m’adressant un sourire et un regard où j’ai vu de l’amusement et de la connivence (cela m’a laissé à penser qu’elle m’avait entendu chanter, ou pour le moins fredonner, en ouvrant la porte) :
« Et je ne vous laisserai pas m’emmener jouer... »
Elle s’est effacée en me laissant entrer dans la chambre. S’y trouvaient Mathilde, appuyée contre la fenêtre, et Judith, assise sur un lit, plus trois autres filles dont aucune n’était Isabelle...