L’idée est inhérente au Journal du pauvre, autrement appelé Journal épistolaire, qui, adressé à un ami lointain (par la distance, et non par le cœur et le temps) et faisant directement suite au Journal du vin de l’automne 1990 (destiné et adressé au même ami), a été rédigé du 3 janvier au 26 décembre 1990 ; puis, régulièrement au départ, ensuite de façon de plus en plus sporadique jusqu’à son arrêt brutal et définitif, du 2 janvier au 27 juin 1991, c’est-à-dire conjointement au Rapport (tel qu’il est désigné dans le Journal).

Outre le Journal, je peux noter deux influences directes qui, d’une manière ou d’une autre, donneront, sinon sens et direction, du moins corps à l’idée. Elles apparaissent clairement à la lecture dudit Journal en date du 29 novembre 1990...