Le 24 mars 1992 dans la nuit : je lis au bas de la page 265 de l’édifiant (car bâclé, captieux, injurieux, et pour tout dire, crapuleux) ouvrage de Dominique Auzel consacré à François Truffaut, Les 1 001 nuits américaines (ou l’opportunisme pour unique raison de publication) : « […] Gabriel téléphone au bar Turandot […] ». Ce sont les derniers mots de la page, ils concernent Zazie dans le métro.
Vérification faite, et sous réserves d’une lecture complète, Turandot serait le nom de l’un des personnages... Puisque je n’ai pas lu ce livre, ou dans un passé trop obscur pour que je m’en souvienne du moindre mot, je peux affirmer qu’il s’agit d’une pure coïncidence...
(Il s’agit bien d’un personnage, mais aussi d’un café qui porte son nom. Note du 25 juillet 2021.)