– Pas encore.
– Mon Dieu ! » Elle se signe.
« Mais je m’y emploie.
– Mais comment se fait-il que je n’ai jamais entendu parler de cette histoire ? »
Lazare s’écarte de la fenêtre,
« J’ai fait le nécessaire pour que pas. »
survole l’espace de la chambre à coucher – propre, étincelante, comme si jamais personne n’y avait touché, et cet effacement par un nettoyage quotidien, scrupuleux, méticuleux, systématique lui plaît – et fait un pas en direction de la porte sous le regard de Clémence qui n’arrive pas à se faire à l’idée qu’une telle chose ait pu se produire si près de chez elle.
« C’est curieux tout de même que personne dans cette rue ne semble la connaître, ni même avoir eu vent de son assassinat ! Exactement comme si elle n’existait pas... »