« Cesse de te torturer inutilement, Maxime. Il va bien falloir un jour que... » Elle consulte sa montre. « Je suis désolé, Maxime, mais il va falloir que tu partes. J’ai des malades à aller voir.
– Oh oui, bien sûr. Excuse-moi. »
Il se lève et, durant un moment, ils se regardent, immobiles, et comme anéantis...