Mais pour l’heure, il ne sait pas. Et posté à la fenêtre dont il a laissé retomber le rideau, il écarte les pans de son pardessus et se déboutonne. Et fixant les vitres éteintes de la fenêtre d’en face, il jouit là seul, silencieusement et en souriant, d’images particulières qui s’impriment sur le corps endormi et ignorant de Marina...