Je n’ai pas eu le loisir de raconter tout cela à Geoffroy – ni ce qui s’en est suivi, qui n’est pas le moins édifiant de toute cette histoire –, mais je me le suis remémoré, tandis que Léon s’arrêtait à nos côtés et nous saluait, puis m’y suis franchement abîmé, alors que nous traversions la chaussée, moi entre Geoffroy mon ami et Léon mon éditeur qui tous deux ont bien été obligés de me soutenir jusqu’à mon appartement...