Il est 3 h 00. Je viens de monter. Mal de crâne toute la journée qui m’a obligé à rester allongé plus longtemps que de coutume. Vers minuit je me suis endormi devant les premières images de Barfly [...]. J’ai passé l’après-midi sur le Rapport dont j’ai rédigé le vendredi ce matin (et je crois bien qu’il en ira de même pour Paule qui va se rédiger demain, à moins d’un soudain élan – très improbable).

Ici, j’observe une ligne de silence pour le mot « davantage » qui agonise et va définitivement disparaître dans les tréfonds des oubliettes du langage.

Après avoir relu la première semaine du Rapport, il m’apparaît urgent de supprimer tout ce qui ne concerne pas l’« histoire de la rue ». Je la retaperai, un jour... Quoi qu’il en soit, et pour l’instant, en attendant de nouvelles feuilles, considère que ces parties n’existent plus : elles sont à verser dans le journal. Je te permets de les biffer directement sur les pages et te conseille, en cas d’une relecture de l’ensemble, de les oublier, de les faire disparaître de tes yeux et de ta mémoire...