Vendredi, je me suis décidé d’un coup à participer aux deux concours dont la clôture est le 31 mars. Pour le premier, je propose Max dans une version légèrement remaniée, c’est-à-dire expurgée de son côté « fantastique ». Max n’a pas la moindre chance, mais du moins il les secouera un peu... Pour le second, concours de nouvelles policières, j’ai pensé au fiasco qu’est L’homme à la terrasse. Cela faisait longtemps que j’avais l’intention de le refaire. C’était l’occasion. Mais ça me prend beaucoup plus de temps que prévu : tout le vendredi, le samedi entier, le dimanche matin – puisque l’après-midi, anniversaire oblige, a été familial – et il n’est toujours pas achevé. Faut que ça parte vendredi au plus tard. Je pourrais laisser tomber mais j’en ai déjà fait quinze pages dont je ne saurais que faire si j’abandonne. Alors, va falloir que j’y consacre toutes mes soirées et nuits jusqu’à jeudi soir. Ce n’est pas gagné...
Du fait du concours, le Rapport* souffre d’un net ralentissement...
* il est étrange qu’après plus de deux mois d’écrits et alors que la rue V. est définitivement installée, je continue à employer le mot « rapport »...