Le Rapport m’accapare de plus en plus. Tout cela prend de l’ampleur, de la complexité et je commence à m’embrouiller. Il faut que je fasse de plus en plus attention à élargir le champ des personnages sans trop perdre de vue ceux déjà installés. En refaisant le plan au propre, je me suis aperçu que j’avais oublié certains personnages, dont Guénolé dont la première et seule apparition date du 3 mars. Je ne peux plus du tout me permettre d’aller au hasard, il faut que je pense sans cesse aux « itinéraires » déjà tracés, faire en sorte qu’ils ne s’oublient pas trop mais en même temps en créer d’autres. Si le caractère « brouillon » de l’ensemble (brouillon dans le sens de brouiller) est voulu, il ne faut pas non plus que ça devienne le bordel... Tes récentes réactions ne me stimulent guère. Il faudrait peut-être que je prenne un second lecteur qui découvrirait et lirait les textes en bloc et non comme toi, par envois séparés et irréguliers. Ça me semble normal que l’on s’y perde, mais je ne pensais pas que c’était à ce point-là...