Yvette est le prénom du jour. Ça me fait sourire, et me démoralise. J’avoue que je suis un peu fatigué et n’ai guère envie d’écrire. Saturation, peut-être : ces deux jours pleins, mais aussi, peut-être, ces quelque dix jours que je me suis efforcé de marquer d’un texte. Et il en faut un aujourd’hui, consacré à Yvette. Qu’est-ce que je peux raconter à propos d’Yvette que je ne connais pas encore ?...
Note du 29 décembre 2000 : la fin manuscrite d’Yvette est légèrement différente de la version imprimée : « biquet » remplace « chauffard » ; puis, après : « C’est d’un goût ! » : « Au fait, tu ne l’as pas vraiment suivie, la gamine ? – Mais comment je le pourrais, mon biquet ? » Suit cette précision en marge : (à poursuivre pour l’histoire de l’amant)