Cela fait dix jours que je suis sur le Rapport – qui je pense a abordé son allure définitive, celle d’une succession de textes qui... mais tu verras par toi-même, en lisant – et je me demande si ça va continuer ainsi. Un an. Le journal prenait du temps, mais je pouvais me permettre des arrêts, des passages à vide, des longueurs d’écrit, etc. : il reste souple et malléable. Tandis que pour le Rapport, il s’agit de texte. C’est-à-dire qu’il faut d’une part que je trouve ce qu’il y a à écrire, d’autre part l’écrire. Quelle qu’en soit sa longueur, c’est long, très long, beaucoup plus long que je ne le pensais... Mais bien, j’ai choisi de le faire ; et de toute manière, et pour l’instant, c’est très excitant...