Il est deux heures. Ça souffle, ça pisse, ça tempête. Tout craque et tape dans la maison. Une heure ou deux, ça va. Mais à partir de la troisième, c’est énervant, irritant, agaçant. Il paraîtrait que par temps de tempête, le nombre des suicides augmente. Pourquoi pas. Pour accompagner ça, le boulot, Les années de chien, le journal (bien maigre ces temps-ci), le Rapport (de plus en plus consistant ; et imposant, prenant, envahissant !). Où cela va-t-il me mener ?...