(rédigé le lundi 8, à 23 h 45, dans un état d’extrême fatigue et une vague absence mentale)

Hier, buffet de la gare de Lys. J’attends Léo avec qui je dois prendre le train du retour. Ce week-end doit être consacré à la réalisation d’une bande magnétique qu’il doit fournir le mercredi 10 pour une intervention artistique dans une classe de cinéma. Nous nous y mettons dès le soir, ça nous prendra jusqu’à dimanche soir, d’où arrêt de toute activité, notamment le Rapport qui se retrouve avec trois saints de retard. Je ne me sens guère le goût d’écrire, ni l’envie, ni la force. Mais prendre encore un retard me fera me retrouver avec quatre textes à rédiger demain soir...