Mais pas que lui, car je sens que le Rapport se relâche aussi. Une certaine lassitude, et je pense que les derniers textes s’en ressentent (alors que les précédents m’avaient présagé une longue et belle route sans trop d’efforts). Inévitable, bien sûr. Comment espérer de la grande qualité chaque jour ? Impossible, je le sais et ne l’accepte pas... Tout à l’heure, dans le canapé, je me suis demandé si toute cette histoire n’était pas une vaste blague, une belle gageure qui allait se transformer en eau de boudin, un matin, un soir où je déciderais tout à coup de tout abandonner (je ne parle que du Rapport). Où ces trois cent soixante-trois prénoms vont-ils me mener ? J’en ai une bonne quinzaine d’avance, que je saurai comment utiliser. Mais après ?...