Qu’en sera-t-il dans quelque temps, un jour, deux, un mois, deux ? je n’en sais rien non plus. Toujours est-il qu’il est commencé. Manuscritement, tout d’abord, comme pour le journal, auquel d’ailleurs il est intégré – du moins sur les pages du cahier –, à la machine ensuite, mais séparément... J’en ai déjà fait deux jours : jeudi et vendredi. Et de ce pas, je vais rédiger le troisième, c’est-à-dire, je me retourne, Édouard. Bonne fête Édouard...