La première chose que l’on voit lorsqu’on ouvre son journal intime (un simple cahier d’écolier, cent quatre-vingt-douze pages, petits carreaux, entoilé) – encore que la formule ne soit pas adéquate et certainement la dédaignerait-il –, c’est une feuille volante, à petits carreaux elle aussi, puisqu’elle provient du même cahier entre la page de garde et la première page utilisable duquel elle est glissée, soigneusement pliée en deux.

En voici le contenu recto et verso...