– La poésie doit être une débâcle de l’intellect, et la débâcle...
– Ah ! Parlons-en de Breton !
– Merde ! T’as reconnu ? »
Et ainsi de suite, ça peut durer des heures, l’un arpentant inlassablement le sol de la chambre avec de grands gestes d’exaltation, l’autre imperturbablement assis derrière son bureau, à mettre au point de nouvelles fiches-mémoire – ces dernières consacrées à l’art dont il lui semble plus qu’urgent d’aborder enfin le monde –, à classer quelques coupures de presse, à établir la liste de ses lectures, dont celle, présentement, du mois de septembre qu’une longue période passée au lit l’a empêché de rédiger plus tôt...