« Qu’est-ce qui se passe ? Qu’avez-vous, Mariette ? »

Mais Mariette va déjà mieux.

« Vous permettez que je vous appelle Mariette ?

– Si tu veux, Claire.

– Tu ne te sens pas bien, Mariette ?

– C’est rien ; ça me prend de temps à autre... »

Oui, ça va beaucoup mieux, elle reprend des couleurs, ouvre de nouveau les yeux qui instinctivement se posent sur le lourd renflement du second sein dissimulé sous le corsage ; le corsage dont la soie semble vouloir craquer autour de la grosse pointe dressée et qu’elle écarte d’un geste vif de la main pour aussitôt tomber à genoux et plonger la bouche la première sur le tétin gonflé...