Pleine d’une sourde grâce et de pureté, elle passe la porte cochère, entourée et protégée par ses trois soupirants – sorte d’anges ou de sbires s’ignorant – qui déjà, et tacitement, avaient ourdi son enlèvement.
C’est ainsi que là où l’on attendait Honorine – ou l’une de ses douze sirènes qui, après tout, autant qu’elle aurait pu avoir droit à la gloire et aux cieux, car est-il vraiment juste qu’une fille, étant déjà tout à la fois fils et fille, soit aussi mère – on trouve l’émoustillante et innocente Cyrille...