Puis en fixant cette fois Jules :

« Je m’appelle Arsène. »

Et Jules répond instinctivement :

« Moi, c’est Jules. »

en se rendant aussitôt compte, et bien que le sourire soit resté inchangé, que ce n’était pas une tentative de sa part d’amorcer un échange ou une conversation.

« Je disais ceci au cas où l’on me demanderait.

– Oui, monsieur.

– Ce n’est pas impossible.

– Non, monsieur.

– Je vous souhaite la bonne nuit.

– Bonne nuit, monsieur. »

Jules referme la porte sur le sourire et file dans la chambre 7, en face, qui, à son grand soulagement, donne sur la cour...