Dès lors, en ayant compris ce qui l’avait séduite chez ce mammouth diminué et en me sentant plus que jamais inutile et opportun – mais avais-je seulement conçu l’idée de la revoir ? –, je n’avais plus qu’à poursuivre mon chemin dans l’espoir que ma prochaine conquête – que j’étais persuadé de rencontrer et de séduire sous peu – ait eu les exigences de tout un chacun et chacune, c’est-à-dire celles que bien modestement je pouvais satisfaire.
C’est en atteignant le premier étage que je me suis souvenu de la lettre subtilisée dans le cabas de la femme ivre...