Je suis très mal fichu, nuque, épaules, dos, lombes. Je peine à me concentrer sur quoi que ce soit, même sur Tokyo infra-ordinaire qui pourtant m’enchante. J’avais eu une légère grimace en le feuilletant à un étal de puces, l’avais tout de même pris ; hier, je cherchais un « fin facile à lire » dans les derniers livres à ranger dans la souffrance – toujours invisible derrière les exemplaires de ma nouvelle boutique – puisque je peine à poursuivre Les Enfants et surtout Tchou tchou. Je suis tombé sur celui-ci, l’avais feuilleté, avais eu une nouvelle grimace, mais « si ça ne me plaît pas, je le revendrai ». Contre toute attente, sa structure n’est en rien rebutante, au contraire.
24 janvier 2015