Le peu que j'ai lu de Rimbaud m'est tombé des mains. Je réitère, fais un nouvel essai suite à ce qu'en disaient récemment Tibère et Apollos : enthousiasme, exaltation, exultation, voire vénération. Je lis donc et me dis qu'il y a deux façons de lire, deux niveaux de lecture : prendre le texte tel qu'il se présente et déclarer que c'est poussif, maladroit, excessif, et, au bout du compte, « mal écrit » ; ou alors y chercher un degré, une intention, y subodorer une distanciation de l'auteur par rapport à son texte et alors déclarer l'état d'indulgence (mais de roublardise aussi). Mais je poursuis...