J’ai mis de côté la dernière « nouvelle » de Hammett pour me lancer dans l’histoire de la Révolution industrielle 1760-1880 de Jean-Pierre Rioux. Je l’avais acheté pour ma boutique, puis mis de côté (avec à l’esprit le plaisir que j’avais pris à la lecture des deux livres d’Ariès dans la même collection, Points chez Seuil). Je l’ai entamé ce matin. C’est intéressant, mais il nécessite tout de même un certain bagage en matière d’économie et de finances (à mon niveau). En tout cas, pour l’instant, ça m’accroche… La journée a filé comme ses sœurs et celles à venir. Ça devient inquiétant. Je ne vois rien passer. (De la répétition, de la programmation ; chacune d’elles – en partie à cause de mon quota tabac – précisément réglée, lever, petit déjeuner, lecture, première cigarette, texte, cigarette, livres, cigarette, poste, thé, écran, apéritif, mots croisés, sudoku, puis repas, télé, cigarette, puis bureau, journal. Je ne m’en plains pas, mais ça m’effraie un peu… Normalement, Éléonore rentre après-demain ; ça va faire un mois et demi qu’elle est partie…
2 mars 2017