Un café à la terrasse de l'Austerlitz ce midi. J’y poursuis Le jardin des pendus un peu abandonné ces jours-ci. Je lis sans plaisir ni déplaisir. Rien d’extraordinaire. Je le lis par amitié. En même temps, ce type de lecture me convient tout à fait en cette période où je ne lis guère. Jaouen m’avait dit que le personnage principal, le commissaire Rebus, me ressemblait, lui faisait songer à moi. Pour l’heure, je ne vois pas en quoi…
5 juillet 2006